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Etre maman et rester zen

Après l’accouchement, le baby blues guette la plupart des nouvelles mamans. Puis s’ensuivent les périodes où les enfants semblent insupportables, puis l’adolescence. Voyez comment être maman et toujours rester zen.

Rester zen face à la nouvelle situation de maman

Quand on parle de fibre maternelle, cela ne signifie pas que l’on soit totalement prête. En effet, lorsque c’est la première fois, on ne peut pas soupçonner toutes les éventualités. Pour rester zen face à la nouvelle situation de maman, il faut alors arrêter de s’idéaliser. Osez demander de l’aide et déléguez. Face aux différents horaires de bébé, vous ne pourrez pas tout faire vous-même, et lorsqu’il s’endort, profitez-en pour vous reposer ou faire des activités qui vous tiennent à coeur au lieu de rattraper les corvées. Ainsi, pour éviter le stress et garder une attitude zen, réorganisez-vous en vous basant en grande partie sur le programme de votre nouveau-né.

Rester zen face à des enfants qui grandissent

A partir de 3 ans, l’enfant devient de plus en plus indépendant, crie et court. Ces attitudes peuvent agacer plus d’une personne qui ne supporte pas l’interminable mouvement des enfants en pleine activité. Ne vous laissez pas importuner par cela. Pour le bon développement et l’épanouissement de vos petits, il est nécessaire qu’ils bougent, qu’ils dérangent et qu’ils s’affirment. Sans pour autant être passive face à leurs excès, ne sautez pas sur le moindre bruit ou le plus petit jouet qui n’est pas rangé pour vous mettre en colère. Apprenez à maîtriser cette dernière et plutôt que de vous laisser entraîner dans des crises à répétition, essayez la communication et l’autorité.

Rester zen face des adolescents rebelles

Pendant l’adolescence, l’enfant se cherche une personnalité et bon nombre d’entre eux essaient de s’affirmer en se rebellant. C’est alors la période où ils prennent plaisir à contourner les obligations et à tester les interdits. Les parents ne savent pas toujours comment gérer cette situation et angoissent, stressent ou paniquent face aux risques que leurs enfants prennent à ces âges-là. Encore une fois, maîtrisez vos colères et relativisez chaque cas. Privilégiez toujours la communication et tentez de comprendre leur besoin tout en leur laissant parfois trébucher. Essayez de garder le contrôle de la situation en vous renseignant sur les activités qu’ils pratiquent, non seulement pour ne pas se sentir dépassée par les événements, mais aussi pour leur montrer que vous vous intéressez à ce qu’ils font. Ils se sentiront alors plus à l’aise pour vous en parler et le fossé intergénérationnel ne sera pas trop important.

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