Le progrès le plus important est la prise de conscience des différents paramètres qui entrent en jeu : en effet, il ne s’agit pas d’une maladie monofactorielle où une seule cause est responsable d’une seule conséquence, comme dans les maladies infectieuses, mais d’un trouble
multifactoriel où plusieurs causes interviennent,
comme c’est le cas du diabète.
De la même façon, il s’agira d’équilibrer une cellulite à long terme comme on équilibre un diabète.
Il est donc nécessaire d’agir à la fois sur l’équilibre alimentaire pour limiter les apports, et d’éviter le stockage des graisses en excès, mais également sur les muscles en augmentant les exercices physiques pour favoriser les dépenses et équilibrer la balance énergétique.
Cependant, ces deux actions isolées risquent d’entraîner une fonte graisseuse limitée à la partie haute du corps : les joues, les épaules, la poitrine, …
Les graisses stockées dans les zones cellulitiques, c’est-à-dire sur les hanches, les cuisses, et la face interne des genoux seront plus résistantes.
On a donc besoin d’une méthode locale pour les mobiliser ; c’est le rôle de la cosmétique.
Les progrès accomplis dans les principes actifs et les molécules qui les véhiculent jusqu’à la cible sont remarquables. On peut considérer que la pénétration sous épidermique et le pouvoir désinfiltrant de certaines crèmes cosmétiques ont été multipliés par deux durant ces dix dernières années.
équilibre alimentaire -> exercice physique -> application locale et quotidienne de crème amincissante...
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sources : Somatoline Cosmeticâ„¢